La Création et Renouveau Suprêmes est un Kinjutsu développé par Tsunade seulement accessible pour ceux qui ont maîtrisé la technique Création et Renouveau. Bien que similaire par nature à sa technique parent, qui garantit également une très rapide régénération, la technique de Création et renouveau suprêmes exerce des effets continus et automatiques qui guérissent toute blessure que l'utilisateur subit sans avoir besoin de composer des signes incantatoires ou même de faire l'effort d'en prendre conscience pour activer le processus de guérison tant qu'il lui reste du chakra. La régénération accrue conférée par cette technique est tellement rapide que même les blessures issues d'un empalement par deux gigantesques épées dans l'abdomen de Tsunade furent complètement guéries peu de temps après que les épées furent retirées.[3]
L'utilisation de cette technique requiert la rupture du Sceau de Création et Renouveau Suprêmes, mais plutôt que de recouvrir juste le visage, les marques s'étendent sur le corps tout entier. Comme témoignage à la fois de la puissance et de la confiance qu'elle porte en ses pouvoirs de guérison, Tsunade décréta que seuls les ninja médecin qui avaient maîtrisé cette technique pouvaient enfreindre les trois premières règles qui gouvernent leur rôle sur les champs de bataille — qui prohibent effectivement leur participation directe dans tout combat — qu'elle mit en place elle-même.[3]
Anecdotes
- Quand c'est écrit « 白毫 », Byakugô veut dire « Urna » (voulant dire littéralement « beaux cheveux blancs »), qui est un tourbillon de beaux cheveux blancs sur le front de Bouddha, représenté dans l'art par une spirale ou un point, ou même par une pierre précieuse ou une perle. Cela représente le troisième œil qui permet de voir au-delà du monde ordinaire et dans le monde divin. Cela est une net allusion à la marque en forme de losange sur le front de l'utilisateur.
- Selon Madara Uchiwa, cette technique est similaire par nature au ninjutsu médical utilisé par Hashirama Senju, dans le sens où elle guérit les blessures sans que cela requière la composition de mudrâ.[4]